Bilan du Quai d’Orsay : 35 Français décèdes lors des attaques du Hamas en Israël
Le Quai d’Orsay a mis à jour son bilan sur les attaques récentes perpétrées par le Hamas en Israël. D’après les informations fournies par le ministère français des Affaires étrangères, 35 citoyens français ont tragiquement perdu leur vie dans ces attaques.
Attaques du Hamas : un lourd bilan pour les Français en Israël
Les dernières attaques d’envergure menées par le groupe islamiste Hamas en Israël ont eu un impact dévastateur sur la population locale et les ressortissants étrangers vivant dans le pays. Parmi ces derniers, 35 citoyens français ont été tués, selon un bilan actualisé fourni par le Quai d’Orsay.
Des dizaines d’autres français ont également été blessés dans les attaques, tandis que certains sont toujours portés disparus. Les équipes de secours et les autorités locales continuent leurs efforts pour localiser et assister les personnes touchées.
Réaction de la France face à l’escalade de la violence
Face à cette situation désastreuse, le gouvernement français a fermement condamné les attaques du Hamas. Il a exprimé sa profonde sympathie et sa solidarité aux familles des victimes et a promis de faire tout son possible pour aider ceux qui sont encore en danger.
De plus, la France, par l’intermédiaire du Quai d’Orsay, a appelé à un cessez-le-feu immédiat et à la reprise des pourparlers de paix entre Israël et la Palestine. Cette instance a insisté sur l’importance de la désescalade et du respect du droit international humanitaire pour la protection des civils.
Mobilisation pour les ressortissants français
Le gouvernement français a assuré que tout était mis en œuvre pour soutenir ses ressortissants en Israël. Il a encouragé ceux qui n’ont pas encore contacté l’ambassade de France en Israël à le faire immédiatement, afin de recevoir l’assistance dont ils ont besoin.
Le tragique nombre de victimes françaises dans les attaques du Hamas souligne la gravité de la situation en Israël et les immenses défis auxquels sont confrontés les civils vivant dans le pays. Il est plus que jamais nécessaire que la communauté internationale se mobilise pour mettre fin à ce cycle de violence.
